Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan] Diapoe12e7a5a0d3e6adf2ec5ed88e184d775 Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan] Icon33 Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan] 5516985


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 Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan]

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JE ME PRESENTE; J. Kaydence Forwell
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Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan] _
MessageSujet: Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan]   Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan] Icon_minitimeJeu 30 Sep - 22:40

Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan] 769586D_E_The_Return_damon_and_elena_15494009_500_461

I can not hate you because the reason is you.




Le temps c’était peu à peu dégradé en une semaine, la douce brise du matin d’été c’était rafraichis et avait pris de l’intensité. Les feuilles prenaient peu à peu une couleur qui tirait vers le rouge orangé. Je n’aimais l’automne que pour ces couleurs chatoyantes et uniques que prenait la cime des arbres. Bien malheureux quand j’y pensais car c’est la seule chose que j’appréciais en cette saison. Car avec l’automne revenait le froid et je n’aimais pas cela. Je suis de nature très frileuse donc il me faut 2 pull un gros manteau au moins pour l’hiver. Non bien sur j’exagère un peu. Mais le froid n’est pas mon ami.

Fixant le ciel, je ne pouvais voir le soleil qui était caché par les nuages qui étaient eux même dissimulés par la cime des arbres. M’avançant doucement dans central Park, j’attendais patiemment 9h pour enfin me diriger vers mon lieu de travail. Aujourd’hui, tante Ava voulait que je supervise le déroulement d’un shoot pour le magazine de la boite. J’avais accepté avec grand plaisir. C’était toujours un réel plaisir de gérer tout, mais mon plaisir s’accru quand j’appris avec qui j’allais bosser ce jour là. Du moins ce plaisir était présent jusqu’à hier soir, depuis il était devenu colère. Enfin ça en devenait habituelle d’en vouloir à ce photographe ces dernier temps, depuis le moment où... OH NON !!, me réprimais-je mentalement. J’ai juré de ne pas y penser maintenant.

Soupirant je regardais autour de moi. Le grand jardin vert de New York était plutôt calme ce matin. Pas tellement d’enfant, des couples aucuns. Un bon point car je n’aurais pas supporté les cris des enfants, et la vue d’amoureux m’aurait donné la nausée et m’aurait attristé. Je n’avais pas besoin de cela aujourd’hui.

Une légère secousse dans ma poche me rappela dans la réalité hors de mes pensées. Je sortis mon Iphone et regarda le prénom qui aurait du s’afficher sur mon écran, mais c’était un numéro inconnu. Je glissai mon doigt sur l’écran afin de décrocher à mon interlocuteur.

    Kaydence Forwell.., répondis-je avec calme et professionnalisme.
    Katarina Elwis à l’appareil. Mademoiselle Forwell, pardonnez moi de vous importuner à cette heure. Mais nous avons un souci avec les tenues, aucune liste n’a été laissée pour le shoot d’aujourd’hui. Les mannequins sont là mais le photographe non.


Je soupirai en accélérant le pas vers le lieu du shoot portable contre l’oreille.

    J’arrive tout de suite. Ne paniquez pas, le shoot ne devrait commencer que dans quarante minutes.


Une fois ceci dit, je raccrochai et m’empressai de sortir de Central Park. Pas besoin de taxi pour me rendre là où je voulais aller. Il me suffisait de sortir à la sortir nord du grand espace vert de New York, de marcher une dizaine de minutes, entrer dans le Midtown, et rechercher à ce moment le building dans lequel avait lieu le shoot d’aujourd’hui. Mais bien évidemment, je n’en restai pas concentrer sur le chemin que je devrais prendre. Comme toute femme d’affaire, je composai un numéro que je connaissais depuis quelques temps par cœur et toucher l’écran qui me demanda si je voulais appeler ce numéro. Je collai alors le téléphone à mon oreille droite. Une première sonnerie puis une seconde… Soupirant d’énervement je slalomais entre quelque pilonnes qui délimiter l’entrée/sortie du grand espace vert de New-York. Mes talons émettaient des claquements bien distincts en frappant le sol, renseignant les passants de mon rythme de marche.

    Citation :
    Bonjour, vous êtes bien sur la messagerie de Ceylan Worthburry. Je suis indisponible pour le moment. Veuillez laisser un message après le bip sonore, et je vous rappellerez.
    BIP


Ce que les messageries pouvaient me monter sur le système. Enfin non pas toutes les messageries, juste la Sienne.

    Ceylan, c’est Kaydence. Kaydence Forwell… Nous devrions avoir un shoot aujourd’hui à Midtown à 9h15. J’aurais aimé que vous soyez là une demi-heure avant le commencement du shoot comme il était prévu afin que nous puissions voir pour le déroulement de la séance. Je vous pris de me rappeler dès que vous auriez ce message. Merci.


Je raccrochai non sans cette rage qui montait peu à peu comme une boule et se coinça dans ma gorge. Je voulais crier. Lui crier après. Non pas pour des raisons professionnels, il était toujours ce photographe au travail impeccable, mais pour d’autres raisons, dont je devais faire abstraction aujourd’hui. Cela allait être dur, très dur car je mourrais d’envie de lui crier dessus. Je ne m’emportais pas comme ça à l’habitude mais avec lui tout les ressentis étaient démultipliés.

Je ralentis un peu la cadence de mon pas, pour refaire le numéro précédent. Je collais le cellulaire contre mon oreille pour entendre encore ces agaçantes sonneries d’attente. Trop concentrée dans mon énervement j’en oubliai de regarder en traversant ce qui me valu le klaxon bien fort d’un taxi qui sortit par sa fenêtre et agita un bras.

    Regarder, espèce d’idiote !!


Si je n’avais pas eu à me rendre à un shoot très rapidement et que je n’étais pas quelque peu remontée contre monsieur le photographe qui se fait désirer à n’importe quelle heure, j’aurais bien pu trainer ce chauffard au tribunal pour insulte… Mais je n’en avais pas le temps. Je bafouillai quelques excuses au près du chauffeur et filai vers l’immeuble qui m’intéressait. Je rentrai dans le hall spacieux et soupira quand je vis l’assistante la plus maladroite qui puisse exister au monde se précipiter vers moi.

    Bonjour, Mademoiselle Forwell, dit-elle enjouée en m’emboitant le pas.
    Bonjour Claudia. Tu peux aller me chercher un chocolat viennois au café du coin de la rue s’il te plait ? Puis après il me faudrait tous le numéro où je peux joindre Blackand.
    Très bien mademoiselle.


Elle me salua une dernière fois avant de se volatiliser. Avec ces gens maladroit il n’y avait qu’une chose affaire pour pas qu’ils soient une catastrophe dans vos pattes il faut les envoyer dans un lieu où vous n’êtes pas. C’est assez méchant dans le fond mais j’avais assez de soucis sur les bras aujourd’hui pour ne pas en rajouter d’autre. Je pris l’ascenseur et monta au septième étage. Quand je sortis de celui-ci, une armada de personnes me souhaita le bonjour, je ne leurs répondis que par un sourire ou un signe de la tête. Quand je fus arrivée à la loge, du moins l’endroit qui servait en tant que tel aux mannequins. Sans un mot, mise à par le prénom des mannequins j’attrapais les tenue dans l’ordre dont elles devaient les porter et les distribuais. Une fois fini je retirai enfin mon manteau et le déposa sur ma chaise de travail. On m’apporta alors de la paperasse à signer. J’exécutai la tâche non sans un soupir blasée de devoir faire cela dès le matin, mais quand je vis l’heure qu’indiquer ma montre je fus bien plus irritée par la tâche. Alors que je venais de signer la seconde autorisation de je ne sais plus quoi une assistante se présenta près de moi l’air tendue et un peu intimidée.

    Monsieur Worthburry vient d’arriver mademoiselle.
    Il n’était pas trop tôt, lançais-je plus qu’agacée. J’vais lui faire l’envie d’être en retard systématiquement…


Bien sur cette dernière phrase je l’avais bien murmurée pour moi-même. Je me levais et demandai qu’on se prépare pour la séance photo immédiatement. Quant à moi je m’avançai, vers l’être le plus agaçant au monde à mes yeux à cette heure. J’étais déterminée à lui dire ce que je pensais et dans une froideur suprême, cette fois… j’avais entendu le bing de l’ascenseur qui annonçait son ouverture. J’avais alors redoublé de détermination et m’étais adossée à l’encadrement de la porte qu’il allait passer pour accéder à la pièce où se déroulerait du shoot. Je pris une grande inspiration lorsque j’entendis ses pas se rapprocher de moi. Et quand il passa devant moi, surement sans me voir ou non, une partie de l’énervement envers lui fondit. Je détestais ça, c’était toujours ainsi je n’arrivais pas à rester énervée suffisamment pour crier après lui. Et je savais ce qui allait se passer. Je n’allais pas crier mais j’allais utiliser un coté de ma personnalité que je détestais…

    Elle était comment cette fois ? Blonde ? Brune ? Ou était-ce une rousse ?, lançais d’un ton très particulier, pas celui de la plaisanterie, ou d’une plaisanterie glaciale.


Oui, pour lui montrer que j’étais remontée contre lui, mais pas assez pour crier, je devenais sadique froide et franche. Je ne mâchais pas mes mots et je ne prenais pas de pincettes…

    Oh es-tu au courant que quand tu achètes normalement un portable il te vende un câble qui se branche à ces prises aux murs tu vois et ça permet de nourrir ce petit objet. Faut croire que ça boit pas mal ces petite bêtes…


Je me repoussai du mur et m’apprêtai à partir quand je me retournai et le fixer de manière pas très chaleureuse. Et avec un sourire narquois et méprisant en coin de lèvres, je rajoutai :

    Au faite, les Yakees on perdu le match hier. Oui tu sais celui qu’on était censé aller voir touts les deux. Et puis le restaurant français était un vrai régale sans toi, oui car encore là on devait y aller ensemble… Mais je paris que cette fille était bien plus intéressant que le match et plus délicieuse que le restaurant français…


Je le lui offrir alors un regard à la fois pour lui montrer à quel point j’étais blessée, mais cet aspect était caché sous toute la colère que j’éprouvais pour lui. Je me retournai, avant d’en dire plus et de tenir le discours d’une fille que je n’étais pas…


Dernière édition par J. Kaydence Forwell le Ven 26 Nov - 8:18, édité 2 fois
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JE ME PRESENTE; E. Ceylan Ainswood
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Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan] _
MessageSujet: Re: Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan]   Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan] Icon_minitimeLun 22 Nov - 2:55

Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan] 34fz5z4
♣♣♣
« I do not understand you, you are difficult to understand. ♣ »
.

    Peu importe le temps qu’il pouvait faire dehors, Il pouvais neigé, pleuvoir des cordes, il y avoir une tempête d’orage, rien ne pourrait arrêter le brunet. Car il fera ce qu’il veut, avec qui il veut, à l’endroit qu’il veut et surtout peu importe le moment. Quand il veut obtenir quelque chose, Ceylan va toujours au bout de ses fins, il ne baisse pas les bras et surtout il est prêt à tout pour avoir ce qu’il souhaite. Le brunet ne fait jamais attention au temps, il vit au jour le jour sans ce préoccupé du lendemain. Mais si c’était à choisir, comme saison il choisirait l’été, une des plus belle saison, car il y a le soleil, la chaleur, la plage, la fiesta, les belle demoiselles (…) Tout pour plaire à un homme, car le brunet est le genre de type qui profite de la vie à fond, après tout on n’en n’as qu’une, donc autant en profiter. Ceylan était en plein dans ses rêves, il avait passé une nuit de folie en charmante compagnie, en rentrant il n’avait même pas était capable de ce deshabiller, il était bien trop défoncé et fatigué pour reussir à enlevé ses vêtements. En plus pendant cette soirée, il avait couché avec plusieurs femmes, donc une d’entre elles était vierge. Il a fait genre qu’il était amoureux d’elle, juste histoire de l’avoir pour la nuit, car une fois qu’il à eu ce qu’il souhaité, il a fait style qu’il allait ce cherché un verre d’alcool, mais c’était faux à vrai dire il était partis couché avec d’autre femmes avec qui le jeune homme à passait sa soirée. Le pire c’est que la jeune demoiselle qui était vierge au début de la soirée à vu Ceylan couché avec trois femmes à la fois, elle était détruite la pauvre. Le brunet ne savait pas vraiment pourquoi elle pleuré, il était bien trop défoncé pour capter, il l’était encore plus qu’en début de soirée. Du coup elle est partie, et Ceylan ne l’as plus revut de la soirée. Façon il ce rappellerait même plus de son visage si il devait la revoir, pour lui c’était seulement une relation d’une nuit et rien de plus. Il aime beaucoup les femmes il ne dirait pas le contraire, seulement il ne recherche pas le grand amour ça ne l’interesse pas, un jour lointain peut-être, mais ce serait desormait pas maintenant. Avant tout, faut qu’il tombe amoureux et ce n’est pas demain la veille. Même si tout peut arrivé, l'avenir le dira. Alors que les rayons de soleil ce pointa sur le regard parfait du jeune homme il s'engouffra sous la couette pour ce cacher du soleil, jusqu’au moment que son portable vibra sous son oreiller, il vibra tellement fort que ça le réveilla automatiquement. Même si il ce sentait réveillé il avait très du mal à ouvrir ses yeux, il avait l’impression qu’il n’avait pas dormit et pourtant si, mais peut-être pas assez. Mais il était temps qu’il ce réveille, car en plus ce matin, comme il est photographe il devait être présent au shoot, mais il était plus qu’en retard, donc il était temps qu’il ce bouge pour aller ce préparer, autant qu’il y aille en retard que pas du tout. En plus il n’était pas du genre à être ponctuel, il est ainsi et on ne le changera pas. Avant qu’il aille ce préparer, le brunet éteint donc son portable pour justement le rechargé vu qu‘il n‘avait plus de batterie, donc si on allait l’appelé les gens allait donc tombé sur sa messagerie automatiquement. Comme il était en retard, Kaydence allait probablement l’appelé, et comme hier il la laissé en plan, en donnant aucune nouvelle si il allait venir ou pas avec elle au restaurent et au match, il ce doutait légèrement qu’elle allait lui faire la remarque. Une fois que le brunet fut enfin préparer il alluma son portable en remarquant qu’il avait un message sur sa messagerie, donc il prit le temps de l’écouter en remarquant que c’était Kaydence, il eu un sourire au bout des lèvres en n’écoutant son message justement parce que elle allait être en colère contre lui, ça risquerait de chauffer à son arrivait. Bon, il sait qu’il était en retard, mais d’une minute à l’autre il allait arrivait, en plus il avait bien l’intention de prendre sa voiture. Le brunet sortis alors de chez lui en prenant sa voiture décapotable de couloir noir pour ce rendre dans le quartier de Midtown à l’endroit ou le shoot va ce déroulé. Alors qu’il arriva à destination il ce gara sur le parking et entra donc dans le hall les mains dans les poches, les gens qui passait près de lui, leur souhaiter le bonjour et Ceylan leur répondait en retour. Le brunet prit l’ascenseur et il alla pour entré dans la pièce ou allait ce déroulé la séance du shoot. Le pire c’est qu’il passait près de Kaydence même si il l’avait vu, mais un sourire amusée apparut sur ses lèvres, voila que les remarques commençait, alors il ce retourna vers elle pour lui répondre. « Hum, c’est une question piège ? Pour éviter de te faire un long discourt, si je te dis qu’il y avait les trois, ça te vas comme réponse ? » Lui dit t’il en la fixant du regard, elle avait vraiment l’air d’être remonté contre lui, mais il y avait de quoi avec un homme comme Ceylan. Un sourire amusée apparut à nouveau sur ses lèvres qui ne voulait pas disparaitre, maintenant elle lui faisait la remarque pour le portable, tout simplement parce que elle était surment tomber sur sa messagerie. « Tu m’as juste appelé au mauvais moment tout simplement, deux fois en plus quel record. Et quand tu me laisses un message sur ma messagerie, pitié évite de me dire vous. » Elle avait vraiment l’air pas heureuse d’être en sa compagnie, du moins il en n’avait l’impression elle paraissait légèrement froide et distante avec lui. « Ah oui ? Je pensais plutôt que c’était les Lakers voit-tu. J’ai (…) J’ai étais pas mal occuper. » Il avait ce regard au bout des lèvres qui pouvait mettre en colère plus d’une femme, et avant qu’elle ne parte trop loin il ajouta. « Tu sais que tu es sexy quand tu t’énerves, tu devrais l’être encore plus souvent. » Lui dit t'il sarcastiquement. Le brunet n’allait pas rester sur place, il décida de la suivre d’un pas rapide, pour marché près d’elle.

    HJ ♣ Excuse me pour le retard. *o*

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MessageSujet: Re: Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan]   Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan] Icon_minitimeVen 26 Nov - 9:28


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MessageSujet: Re: Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan]   Pourquoi tu m'en veux? Je t'en veux pas... Si tu m'en veux !!! [PV Ceylan] Icon_minitime

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