Autoritaires, directs et francs, Jules peut paraître impressionnant et dégage un magnétisme certain. En général méfiant, il a besoin de preuves pour s'engager pleinement. Pourtant, il est curieux, sait prendre des risques et s'engage volontiers dans la voie de la nouveauté et des changements. Pourtant, derrière cette facette se cache des trésors de sensibilité. On note chez lui un grand besoin d'action et de dépenses physiques : la mobilité et le changement font partie intégrante de sa vie. Chez lui, une tendance à la réflexion, à la pondération, au sens de l'organisation et à l'introversion s'oppose à une tendance primaire d'impulsivité, d'impatience. Son côté « risque-tout » est particulièrement présent. Keshawn engrange des émotions, des sentiments (d'où des rancunes tenaces) pour exploser d'un seul coup au moment où on s'y attend le moins. Sa colère est alors comme la foudre et s'avère brusque et fugitive. De même, en ce qui concerne les finances, le verra-t-on mettre de côté, économiser patiemment pour soudainement dépenser sans compter... En société, il peut être un bavard intarissable lorsque le sujet l'intéresse ou bien quasi muet dans le cas contraire. C'est en fait un grand passionné. Pour les parents, la vie ne sera pas de tout repos avec cet enfant : il sera bon de lui permettre de se dépenser physiquement, ce qui canalisera son agressivité. Il faut l’inciter à parler, la communication n'étant pas, a priori, son fort.

Côté vestimentaire, Keshawn porte presque toujours des vêtements sombres. Il affectionne particulièrement le noir. Lorsqu’on le voit, on se dit immédiatement que cet homme a de l’argent et du style. Tous ses vêtements sont de marque reconnue. Kesh’ est du genre à préférer le jeans confortable et le t-shirt uni à tout autre vêtement. Il n’a pourtant pas l’air négligé, même si son style reste plutôt simple. C’est d’ailleurs sa simplicité et sa classe qui augmentent son niveau de charme auprès de la gente féminine. Oh, il ne faut pas oublier que monsieur adore porter ses ray-bans. Il ne sort pratiquement jamais sans. Il n’est pas particulièrement adepte de mode, pourtant, il est toujours très élégant et stylé.

Côté physique, Jules a les cheveux bruns presque noir, minces, courts et plats. Ses yeux sombres lui donnent un regard perçant, captivant, mystérieux. Ses lèves, quant à elles, sont une source d’attraction irrésistible pour les demoiselles. Du haut de son mètre quatre-vingt, il serait faux de dire que Jules est petit. Il a également un corps disons … bien bâti et entretenu ?! Il aime être beau, aime prendre soin de lui et cela se reflète lorsqu’on le regarde. L’été, lorsqu’il fait chaud, il n’et pas rare de le voir torse nu et, attention mesdemoiselles, vous allez bavez. Disons qu’il a été très gâté par la nature. Il est définitivement attirant.

Le soleil commençait à disparaître, désormais caché par de gros nuages gris lorsque Carter Linwood se gara dans le parking de l’hopîtal. Il se dépêcha à faire sortir Anne Dubois, sa femme, de la voiture. Le couple passa en vitesse les portes d’entrée et tandis que sa femme allait s’asseoir patiemment sur une chaise, monsieur Linwood alla au comptoir. Rapidement, on apporta une chaise roulante dans laquelle on installa la femme et direction la salle d’accouchement. Je vous épargnerez les détails de l’action en tant que telle. Je me contenterai de vous dire que le bambin qui naquit fut un garçon. Les parents ne s’entendant pas du tout sur quel nom on devrait attribuer à leur progéniture décidèrent de le nommer Jules, prénom auquel la mère tenait par dessus tout, et Keshawn, prénom que le père affectionnait particulièrement.


Papa et maman toujours absents, une nounou dont on se fout carrément, une jeunesse dorée, voilà le monde dans lequel le jeune Keshawn est né. Ses géniteurs, pour compenser leur absence, lui achetaient tout ce qu’il voulait et le laissait faire. Déjà tout jeune, Keshawn avait du répondant.

Citation :

Il avait huit ans à cette époque. Ses parents étaient à la maison pour deux jours seulement. Kesh’ avait fait une grande connerie. Il avait ramené des vers de terre de l’extérieur, du jardin, dans la maison. Il y avait de la terre partout dans la maison. Les murs du salons, à l’origine blancs, étaient désormais beige-brun. Sa mère lui avait fait tout un sermon. Le garçon avait répliqué ceci à celle qu’il ne considérait pas vraiment comme sa mère :

« Maman, c’est mon cadeau pour toi, pour que tu m’oublies pas. »

Un large sourire était maintenant visible sur son visage et il laissa tomber la terre et les vers qui étaient dans ses mains sur le sol et parti à la salle de bain se laver les mains.

Il faut le dire, Keshawn avait déjà bien du caractère et aimait déjà la provocation dès son plus jeune âge. Ses parents, malgré son attitude, ne furent pas plus présent pour le petit garçon les années suivantes. Toujours aussi occupés, ils connaissaient plus les douaniers de l’aéroport que leur propre fils. Et l’idée de faire un second enfant ne leur est jamais venue en tête, bien que Kesh’ a, à maintes reprises, évoquée l’envie d’avoir un frère ou une sœur. Bien sur, me direz-vous, ce n’est pas l’enfant qui décide, mais tout de même. Les biens matériels ne remplaçaient en aucun cas l’amour parentale qui lui manquait. Il s’est donc rapidement tourné vers des jeunes de son âge aux fréquentations douteuses et à l’attitude rebelle. Il adopta rapidement le mode de vie de ces garçons, mode de vie peu convenable pour un garçon d’à peine dix ans. C’est d’ailleurs à cette âge qu’il goûta à sa première bière. Et ce n’était que le commencement…


C’est vers l’âge de treize ans qu’il fuma son premier joint. C’était un soir, alors qu’il était à une fête organisée par on ne sait trop qui qu’on lui proposa d’essayer. Friand de sensations fortes et à la recherche de quelque chose pouvant apaiser la souffrance qu’il ressentait du à l’absence de figure paternelle, il essaya. Il en devint rapidement accro. À quatorze ans, ce fut la première piqûre. C’était maintenant la recherche de substance toujours plus forte, plus stimulante qui menait sa vie. Les cours, il s’en foutait. Il n’aimait que les femmes et les substances illicites.

Citation :

J’ai rencontrer une jeune femme lors d’une soirée. Nous étions tous les deux défoncés, saouls, presque morts, pourtant, elle m’a tout de suite plu. Ses cheveux blonds ondulés qui tombaient en cascade sur ses épaules, cette lueur dans ses yeux que je n’aurais su décrire, son regard envoûtant, ses formes bien proportionnées, tout chez elle m’attirait. Je l’ai abordée puis rapidement, nous sommes montés à l’étage et avons tiré parti de ce que chacun pouvait offrir à l’autre. Nous avons entretenu une relation plutôt … étrange. Enfin, nous ne nous aimions que quand nous étions défoncés. Alors, disons que ça a duré un temps, mais on s’est vite lassé. Et quand elle m’a vu embrasser une autre fille à en perdre haleine, je crois que ses ardeurs ont été refroidi.

J’ai continué à enchaîner relation d’un soir, alcool et drogue. Ma vie fut un désastre. Je n’ai pratiquement aucun souvenir de mon adolescence. Sauf peut-être ce soir, celui de mon bal de promo.

Citation :

Tout le monde sait que ce qui est plaisant dans les bals de graduation, c’est la fête qui vient après. Encore une fois, elle n’échappait pas à notre règle. Sex Drugs & Rock ‘n’ Roll. Ce qui était sensé être une soirée mémorable se transforma rapidement en cauchemar. J’avais à lors dix-sept ans. Nous buvions, avions du plaisir, embrassions à peu près qui nous voulions et couchions dans la tente d’un inconnu, se foutant du reste. Cependant, j’ai rapidement cessé de compter les bières qui passaient dans mes mains. Ma vision devint flou et je sombrai rapidement dans l’inconscience. Quelqu’un d’encore assez sobre, j’imagine, appela les secours et on dut me transporter d’urgence à l’hôpital. J’étais en plein coma éthylique. Je ne me réveillai que 7 heures après mon arrivée dans ma chambre. Mes amis attendaient, inquiets, dans la salle d’attente, ne s’abreuvant que d’eau, tandis que je me remettais tranquillement de cette soirée de débauche. J’ai pu rentrer chez moi après une nuit d’observation. Depuis ce jour, je suis vigilent avec l’alcool et je ne prends plus de substances illicites.

Ce fut suite à ce malheureux incident que mes parents décidèrent de se soucier un peu de moi. Enfin, de me porter de l’attention un minimum. Le jour de mes dis-huit ans, ils m’offrirent un voyage à New-York, pensant que pour mon bien, je devais m’éloigner de mes amis, des gens que je fréquentais ici, en France. Je ne me fis pas vraiment prier et je partis une semaine plus tard. À mon arrivée à New-York, j’étais toujours le même, je continuais d’enchaîner les histoires d’une nuit… du moins, jusqu’à ce jour fatidique.

Citation :

Je conduisais ma voiture, il devait être huit heures du matin, je quittais l’appartement d’une autre de mes conquête quand un chauffeur probablement distrait faucha ma voiture. Heureusement ce n’était pas un poids lourd puisque l’impact se fit du côté conducteur. J’ai été très chanceux dans cet accident. J’ai passé un mois à l’hôpital suite à ce tragique événement et depuis ce jour, je vois la vie différemment.

J’ai cessé d’avoir cette attitude de bad boy, enfin, j’ai toujours l’air, le style, mais je suis plus respectueux des femmes. J’aime toujours charmer, évidemment, mais je suis plus raisonnable. Maintenant, reste à voir ce que me réserve l’avenir.

Pseudonyme; .addict
Mon pays bien aimé; Un pays froid. (a)
Mon âge; Mais quelle impolitesse o_O
Fille ou garçon; Le sexe fort.
Ma célébrité choisie;
Ian Somerhalder
Comment as-tu connu TII NY; Un ancien Yoyo (aa)
Comment le trouves-tu; ♥
Pourquoi t'être inscrit; Parce que je voulais jouer avec Ian, parce qu'il était libre *o* et parce que TII c'est la vie. ♥
Code du règlement; it is the holidays
Exemple de rp;

Spoiler:

*Remplace bien ce qui est en gras par ce qui correspond à ton personnage pour ce qui est de l'identité et de remplacer le gif par un de la célébrité que tu as choisis de jouer.