TII ; qu'est-ce que c'est ? Un brin de folie pure et dure, comme les fesses de ces jeunes hommes ci-dessus --> , une grande famille où tout est permit ou encore une grande bande d'amis que l'on vient retrouver juste après un bon streapoker. This is it, c'est aussi un maigre hommage que nous avons souhaité rendre à notre ami et idole Michael Jackson...Quatres avatars sont disponibles. Forum actif & attractif. Qu'attendez-vous pour nous rejoindre ? (;
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TII ; qu'est-ce que c'est ? Un brin de folie pure et dure, comme les fesses de ces jeunes hommes ci-dessus --> , une grande famille où tout est permit ou encore une grande bande d'amis que l'on vient retrouver juste après un bon streapoker. This is it, c'est aussi un maigre hommage que nous avons souhaité rendre à notre ami et idole Michael Jackson...Quatres avatars sont disponibles. Forum actif & attractif. Qu'attendez-vous pour nous rejoindre ? (;
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Après des longues réflections & surtout une très belle vie ; THIS IS IT FERMERA SES PORTES DANS LES JOURS A VENIR. MERCI DE NE PLUS VOUS INSCRIRES. Nous avons été très heureux de partager tous ces moments avec vous. Vous nous manquerez. NEW YORK NEVER SLEEP, ne l'oubliez pas.
Sujet: Charlie ♣ devil in her mind Mer 24 Nov - 23:42
« Ceux qui ne font pas l'amour ont mauvaise conscience et voudraient la coller à ceux qui le font. »
Tanner Ferelly Charlie
Un petite présentation s'impose; Je suis née le 2 août 1988 à San Diego aux Etaus-Unis. Comme vous pouvez le remarquer, je suis une femme qui est très demandée. Je suis actuellement libre comme l'air; je suis hétéro. J'ai 22 ans ans; je sais, je me fais vieille. J'ai mon petit surnom, comme tout le monde je suppose, le mien est Lilly. Je suis quelqu'un de têtu, souriante, manipulatrice, séductruce, indépendante, mystérieuse, attachante et surprenante. J'ai choisis de m'orienter vers des études de LEA / Je travail en tant que babysitter. Pourquoi je suis venue à New-York ? Si je suis ici c'est parce que mon père a été muté il y a 6 ans. Je fais partie du groupe des so scandalous. Je suis un personnage inventé.
Jeune, belle, jolie et sympathique. Voilà les trois mots que vous vous direz si vous rencontrez la jeune Charlie assise à la terrasse d'un café, en plein soleil. Et bien ... les apparences sont bien trompeuses de nos jours. Et beaucoup s'y méprennent. Mais après tout, n'est-ce pas fait pour ça, les apparences ? Les gens s'y méprennent de plus en plus. On veut montrer ce qu'on n'est pas, et c'est parfaitement ce qu'ils voient. Ceci a ses avantages et ses inconvénients mais Charlie en a tiré le bon côté. Sa oui, elle a tout compris pour jouer de ses atouts ! Under co.
LA BEAUTÉ N'EST QU'ÉPHÉMÈRE;
C'est bien de savoir quel est le caractère de ton personnage; mais on n'en sait pas encore assez! Décris-nous un peu l'apparence du perso, ses habitudes vestimentaires, ses allures, son style de mode, et tout ça en cinq lignes minimum; ce n'est pas grand chose voyons.
MON HISTOIRE, C'EST MA VIE;
Voilà sans aucun doute la partie la plus importante de ton personnage; celle ou toute personne rivera son regard en particulier pour apprendre tout de chez tout sur lui. Raconte nous les moments difficiles comme les bons qu'il a traverser; la raison qui la poussé à venir s'installer à New-York. Parle nous de ses couches-culottes jusqu'à aujourd'hui en 12 lignes minimum. Ce n'est pas beaucoup comparé à d'autre forum!
MOI QUI PIANOTE DERRIÈRE MON ÉCRAN;
Pseudonyme; écrire ici. Mon pays bien aimé; écrire ici d'où tu viens. Mon âge; écrire ici ton âge. Ceci est facultatif. Fille ou garçon; écrire ici si tu es une fille ou un garçon. Ma célébrité choisie; écrire ici le choix de ta célébrité. Comment as-tu connu TII NY; écrire ici. Comment le trouves-tu; écrire ici. Pourquoi t'être inscrit; écrire ici les raisons. Exemple de rp;
Spoiler:
Il y a des nuits comme ça, où l’insomnie vous prend et ne vous lâche pas. Des nuits dans ce genre, j’en passe régulièrement et régulièrement, ça signifie au moins six fois par semaine et ça dure depuis plusieurs mois. A croire que quelqu’un a jeté un sort sur moi et ne veut plus que je dorme. Et pourtant, tout le monde sait que le sommeil est la chose la plus importante, et ce pour toute personne. Pire encore, avant je devais dormir au moins dix heures par nuit, sinon j’étais de mauvais poil. Vous imaginez le résultat aujourd’hui ? Non, disons simplement qu’à force, j’ai du m’y faire, mais mon moral en a quand même pris un coup. Et puis, je ne sais par que malheur, je m’endors toujours pour la dernière heure de sommeil qui m’est octroyée. Du coup, ça n’arrange absolument rien. Je passe mes nuits sur le net à jouer ou encore à causer à des personnes à l’autre bout de la planète. Ridicule mais eux au moins sont réveillés. Et tous les matins, j’en ai pour au moins une heure dans la salle de bain à essayer de cacher ces cernes énormes. Vous croyez avoir une vie pourrie ? Jordan O’Bryan est là pour vous prouver le contraire ! Mon Dieu ce que je suis médiocre ! Pourtant, et même si ça me fait mal de le dire, c’est la pure vérité. « Debout marmotte ! Oublie pas que tu dois me conduire au studio. » Et oui, comme prévu, j’avais fini par m’endormir à le dernière minute et Billy était venue me réveiller de manière violente. Ma définition de la manière violente ? Arriver de plein fouet en allumant la lumière et en parlant fort. C’est suffisant, non ? Comme seule réponse, je lui envoyai un coussin à la figure, du moins c’est ce que j’espérais étant donné que je ne visais pas et que j’avais les yeux clos, et je pris le second pour le mettre sur ma tête afin d’atténuer cette lumière aveuglante. « Si t’es pas prête dans dix minutes, plus jamais je ne te rendrai de service. » Et oui, c’était sa manière à elle de me convaincre avant de partir terminer sa tasse de café dans la cuisine. Car oui, cette simple phrase avait finie par me convaincre. Il est vrai que je lui devais bien ça après tous les services qu’elle m’avait déjà rendus. Elle aurait évidemment pu demander à Céline de la conduire, seulement cette dernière avait certainement passé la nuit chez Austin, pour ne pas changer. Je me levai alors péniblement de mon lit et me dirigeai vers ma salle de ban qui donnait sur ma chambre. Pendant ce petit trajet, je lui lançai un simple « Prépare-moi un café noir si tu veux être sûre d’arriver entière à destination. ». Je pris ensuite une douche rapide. Et oui, dix minutes, ce n’est vraiment pas beaucoup ! En sortant de la salle de bain, enroulée dans une serviette blanche, je me choisis un jean troué et une blouse marron que je revêtis rapidement. Je séchai mes cheveux quelques secondes au sèche-cheveux, mis du fond de teint rapidement sous mes yeux et me rendis dans la cuisine près de Billy. Je pris mes clés de voiture qui étaient posées sur le plan de travail et je bus mon café d’une traite. Je la regardai ensuite, triomphante « Bon, je dois encore t’attendre longtemps ? ». Elle me sourit et me poussa dehors d’un coup de pieds aux fesses amical. Si je la conduisais sur son lieu de travail, c’était purement et simplement parce que récemment, un enfoiré lui était rentré dedans et que sa voiture était en réparation. Et puis ça nous permettait de passer un peu de temps ensemble. Ces dernières semaines, on se croisait tout au plus, sans prendre le temps de se retrouver une fois toutes les deux devant un DVD sympa ou lors d’une soirée. Tout en conduisant, je la regardai d’un coup d’œil rapide. Billy était ma meilleure amie et m’avait soutenue dans toutes les épreuves possibles et inimaginables. On a rarement vu de personne aussi gentille, sincère et fidèle de nos jours. Je crois que je lui dois tout, sans elle je n’y serais jamais arrivée. Je me rappelle encore nos premiers jours d’enfance où le contact a été si facile. Notre amitié a toujours coulée de source, c’était une évidence, et ça l’est toujours. « Tu peux me dire pourquoi tu souris bêtement comme ça ? » ce n’est qu’alors que je sortis de mes pensées, réalisant par la même occasion que nous étions arrivées et que je m’étais garée automatiquement. Je lui rendis son sourire et levai les épaules, je n’avais pas d’autre réponse. « Ça fait plaisir de revoir ton sourire en tout cas » me dit-elle avant de me faire la bise et de s’en aller vers son bâtiment.
Et voilà, maintenant que j’avais fait ma bonne action du jour, il ne me restait plus qu’à rentrer chez moi. J’en meure d’envie et pourtant je sais que si je rentre, je ne retrouverai en aucun cas le sommeil. Oui, je suis persuadée que quelqu’un là haut, si cette personne existe, a jeté son dévolu sur moi et a décidé que plus jamais je n’aurai droit à ce confort-là pourtant si indispensable. Je rejetai donc l’idée de rentrer chez moi, de me retrouver seule à broyer du noir, et je décidai d’aller au centre commercial. Étant donné l’heure matinale de la journée, presqu’aucun magasin n’était ouvert. Heureusement pour moi, le Starbuck en face de la rue où j’avais l’habitude d’aller était ouvert. J’y commandai un petit déjeuné simple avec un café cappuccino en accompagnement. Tout en savourant ce petit déjeuné, je regardai à travers la vitrine, je regardais les gens passer, le balayeur de rue, le policier au carrefour d’en face, tout en me perdant dans mes pensées. Je revins à moi lorsqu’un camion noir passa devant moi et que j'aperçus mon reflet dans la vitre. J’avais les traits fatigués et d’énormes cernes autour des yeux. Prise d’un certain débout, j’achevai mon repas et laissai de l’argent sur la table, argent qui remplissait largement l’addition. Je traversai donc la rue et entrai dans le centre commercial où le monde commençait à affluer. Je montai deux étages et atterris devant le centre de beauté que je fréquentais souvent. Je savais que je n’avais pas pris rendez-vous, mais ils n’allaient pas pouvoir me refuser ça. Je demandai donc l’intégralité des soins avec un massage en prime. Il fallait bien que je fasse un minimum attention à moi, c’était l’occasion. Après tout, ce n’est pas tous les jours qu’on se fait bichonner. J’en ressortis, on ne peut plus satisfaite. Sourire aux lèvres et enfin réveillée, je remontai à bord de ma voiture pour une destination inconnue. Peut-être la rivière, peut-être la plage. Qui sait ? Sur mon trajet, je passai devant un glacier. Seulement ce glacier me rappela un souvenir, souvenir dont je ne me souvenais plus jusqu’à présent.
Mercredi, 7 mai 2008
Nous étions mercredi, et nous terminions tous nos cours à midi dix. Pour une vous, nous n’avions pas décidé de passer l’après-midi ensemble, du moins nous n’avions rien organisé. Quand je dis « nous », c’est bien évidemment le groupe, à savoir Billy, Nick, Austin, Céline et moi. Notre petite bande si soudée. En sortant de mon cours de physique, j’aperçus Nick passer la grille de l’école pour rentrer chez lui. Je piquai alors un sprint dans les couloirs, bousculant tout le monde, espérant le rattraper avant que je ne le perde de vue. Il me vit donc débouler devant lui et l’arrêter net. « Tu comptais pas partir comme ça j’espère ?! » comme toute réponse, il haussa les épaules tout en m’affichant son petit sourire en coin qui me faisait craquer. « Soit, ça te dis qu’on aille manger une glace avant de rentrer ? » lui proposais-je alors. Je le vis hésiter un instant avant qu’il ne me réponde simplement « On n’a même pas encore déjeuné, ce n’est pas l’heure d’une glace. ». Je restai évidemment bouche bée face à une telle réponse. En temps normal, il n’aurait jamais décliné cette invitation, heure ou pas heure. Il y avait autre chose, j’en étais persuadée. Au lieu de jouer les flics et de lui déballer tout un questionnaire, je décidai simplement d’insister un peu plus « Oh aller Nick ! C’est pas une glace avant de manger qui va te tuer quand même … » lui dis-je tout en affichant mon sourire le plus convainquant possible. Seulement là, son visage se referma, son sourire amusé disparut et il m’annonça la vraie raison pour laquelle il ne voulait pas venir « A vrai dire, j’ai prévu de vois Shannon cette après-midi. » Alors c’était donc ça, il avait décidé de se remettre avec cette fille, Shannon. Je ne saurais vous dire pourquoi mais c’est come ça, je ne peux pas la voir en peinture. Rien que d’entendre son nom, ça me donne des boutons. Je ne supporte pas qu’une fille comme elle s’approche de Nick. Ce n’était pas la première fois qu’ils sortaient ensemble, loin de là même. Leur couple, si on peut le dire ainsi, a connu beaucoup de hauts et de bas. La preuve que ce n’est tout bonnement pas une fille pour lui. J’essayai de ne pas montrer ma frustration et lui adressai un dernier demi-sourire avant de faire demi-tour en direction du parking pour récupérer ma voiture. J’avais cette nouvelle en travers de la gorge et bien que j’étais persuadée que je n’y arriverais jamais, il allait bien falloir qu’un jour où l’autre, j’accepte cette situation. Ou plutôt que j’accepte le fait que Nick ait d’autres filles dans sa vie que Billy et moi. « JORDAN ATTEND ! » entendis-je alors que je venais d’ouvrir ma portière. C’était Nick, il avait fait demi-tour lui aussi et s’approchait de moi. « Quelques minutes de retard, ce n’est pas grand-chose n’est-ce pas ? » me demanda-t-il en haussant les épaules. Je lui souris et refermai ma portière à clé « Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis … »
Je revins à moi après quelques secondes d’égarement. Nick avait toujours tout fait pour moi, et moi comment l’avais-je remercié ? Par un accident pour lequel il se sentait inutilement coupable. Je lui ai déjà dit à de nombreuses reprises qu’il n’y était pour rien, et c’est la pure vérité. Je sais qu’il ne veut plus me voir et use de tous les moyens possibles pour m’éviter. Ces dernières semaines, je dois avouer que j’ai baissé les bras ces derniers temps. Mais il faut dire que quand on vous nie tout le temps, ça décourage, non ? Alors que je n’étais pas du bon côté du tout de la ville, je braquai à gauche et changeai de direction. Je suis une idiote, la plus grande des idiotes ! Il ne faut pas que je baisse les bras, justement ! Je dois lui montrer que je tiendrai jusqu’au bout, que je suis forte et qu’il doit regarder la réalité en face : il n’y est pour rien. Je savais que je roulais beaucoup trop vite dans la rue et il est vrai que j’ai mis un certain temps avant d’oser prendre le volant mais là, je me fichais complètement des limites de vitesses. Je sentais que cette histoire ne pouvait pas attendre et qu’elle devait être réglée aujourd’hui. Comment est-ce qu’une bande soudée comme la nôtre avait-elle pu se déchirer ainsi ? Je crois que c’est l’une des questions qui revenait chaque soir me hanter. J’avais cassé le lien qui nous entourait, il fallait maintenant que je recolle les morceaux.
J’arrivai enfin dans son allée qui menait à son ancienne maison, celle de son père, où je savais qu’il venait pendant ses temps libres, trouvant son appartement trop petit. Et puis si je ne tombais pas sur lui, je tomberais sur Aaron, son père, et une discussion avec lui me ferait un très grand bien. J’empruntai donc cette grande allée qui traversait l’avant du jardin et me garai devant le garage, à côté d’une autre voiture. Voiture vieille de plusieurs années et que je n’avais eu aucun mal à reconnaître. Shannon était là. Et étant donné qu’ils s’étaient remis ensemble, ça ne m’étonnait même pas. Je ravalai une gorgée de bile et pris mon courage à deux mains avant de descendre de ma voiture. D’un côté, ce signe me rassurait car ça signifiait que Nick était là. Il ne l’a peut-être jamais dit à son fils mais Aaron m’avait confié qu’il ne l’appréciait pas trop, donc il ne l’aurait jamais laissée entrer chez lui sans que Nick ne soit présent. Inspirant un bon coup, je sonnai à la porte, attendant une réponse rapide. Mais comme toujours, après des secondes interminables d’attente, personne ne m’ouvrait. « Nick ?! C’est moi … » criais-je alors. Toujours pas de réponse « Je sais que t’es là ! Tu es ridicule tu sais ! » . Dans le genre têtu, on ne fait pas mieux, je vous assure. Piquant une petite colère pour moi-même face à cette réaction de gamin, je fis demi-tour. Non pas pour rentrer chez moi, mais pour entrer par derrière. Cette fois, c’était la fois de trop et j’étais déterminée à ce qu’il fasse face ! L’avantage d’avoir passé le plus clair de mon temps ici, c’est que je connais absolument tout. Donc bien évidemment, je savais où se cachait la clé de la barrière du jardin. Ni vu ni connu, je m’en emparai et pénétrai dans l’enceinte du jardin. Ce décor m’avait manqué, mais je n’avais pas le temps de penser à ça. Je montai les trois escaliers de la terrasse pour arriver jusqu’à la baie vitrée de la cuisine « Nick, j’en ai assez que tu me fuies et je … » Et je quoi ? Impossible de me souvenir de la fin de ma phrase. J’étais stationnée là, comme un piquet, la bouche grande ouverte devant le spectacle offert devant moi. Nick et Shannon s’étaient entrainés dans de grandes embrassades amoureuses … enfin vous voyez quoi. Décidée à ne pas rester là une seconde de plus, dégoutée par ce que je venais de voir, je rebrroussai chemin « Tu sais quoi … Laisse tomber. ».
Dernière édition par Charlie F. Tanner le Jeu 25 Nov - 22:01, édité 3 fois
JE ME PRESENTE; B. Kaeleigh Greendyenn « A présent ; plus rien ne m'arrête!
Sujet: Re: Charlie ♣ devil in her mind Jeu 25 Nov - 0:09
Bienvenue & merci de ton inscription sur This is it Bonne chance pour ta fichounette, et si tu as des questions ou autre, n'hésite surtout pas à contacter les membres du staff qui seront ravit de te venir en aide (: En passant, un petit clique toutes les deux heures ici ou sur le premier logo starbucks coffee de la page d'accueil nous fera très plaisir (a)
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Sujet: Re: Charlie ♣ devil in her mind Jeu 25 Nov - 9:33
Merci à vous pour l'accueil
JE ME PRESENTE; Invité « Invité
Sujet: Re: Charlie ♣ devil in her mind Jeu 25 Nov - 14:44
Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche. ;D
JE ME PRESENTE; Charlie L. Hupson « « Smile , and close your eyes ♥
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Mer 24 Nov - 23:42
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