« hell m. essander ; l’enfer est déjà là. » ― finish darlign; enjoy. ♥

**JE ME PRESENTE;** **Invité** « Invité

THIS IS IT
ESSANDER; hell meadow.

ft Stewart Kristen.

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vingt ans; juillet, le quatorze de l'an mille neuf cent quatre vingt dix; quartiers mal famés de new york city. ;

Caractère ;

« hell est une sale gosse. J’ai honte d’elle. elle a un caractère infâme. elle est insupportable, mystérieuse, on ne sait jamais ce qu’elle trafique, je ne supporte pas ça. je ne la connais pas et ne cherche pas à la connaître. d'ailleurs, pour tout vous dire, je suis bien contente qu'elle est vite quittée la maison! depuis, je l'ai très rarement vue. et je me porte très bien comme ça, bien mieux même. je ne sais même pas comment j’ai peu mettre cette fille au monde ! »

hangélique, sa mère.

« j’ai très peu connu hell. c’est peut-être ma fille, ça ne change rien. dès que sa mère m’a annoncé qu’elle était enceinte, je l’ai quitté. puis quand je suis retournée avec, hell avait déjà prévu de s’évader, de partir. je l’ai côtoyée quelques semaines, quelques mois, sans plus. je la connait très peu mais assez pour vous dire que cette fille est loin d’être comme les autres, et loin d’être net. »

jordan, son père.

« hell ? attention à cette fille. elle est imprévisible, lunatique, fausse. on croit la connaître mais non. elle est renfermée sur elle-même. elle s’ouvre difficilement aux autres. à se demander si elle ne cache pas quelque chose. vous voulez savoir ? j’ai toujours pensé que cette nana été une droguée. »

davhid, une connaissance.

« on aurait pu être de bonnes amies. oui, vraiment, on aurait pu. mais c’était plus fort que moi. tout simplement car elle ne traînait que dans les quartiers mal famés de new york, là d’où elle venait. et ça, ce n’est pas mon milieu. elle deallait. elle avait beau me dire le contraire, je le savais. elle n’est pas clean et ne le sera jamais. c’est ce qui me faisait peur car cette fille n’est pas normale. elle n’a pas eu une enfance comme tout le monde et ça l’a endurcit. mais elle a prit le mauvais chemin. dommage car malgré ça, c’est une fille extraordinaire. »

solange, une amie.

vous l’aurez certainement compris, hell est le genre de personne pas tellement à côtoyer. mais de la faute à qui ? à ses parents. c’est toujours de la faute aux parents. réservée, timide, mystérieuse, lunatique, fausse. quelques principaux traits de caractère de la jeune fille. après, je ne saurais vous en dire plus car avec elle, on ne sait jamais ce qui peut se passer.

« je sais que je suis insupportable, je sais que je suis quelqu’un de pas très net. je sais aussi que les gens ne me connaissent pas. mais je n’ai jamais demandé à ce qu’ils me connaissent ! qu’il m’aident ! je n’ai jamais eu besoin de l’aide de personne ! j’ai très bien sur me débrouiller seule très vite. alors qu’ils aillent tous se faire fo*tre car c’est tous les mêmes dans ce monde de me*de ! je ne changerais pas de toute façon, quoiqu'il arrive! il n’y en a qu’un qui a su me comprendre et qu’un qui ressort du lot ; mon frère, jamie … »

hell.

Physique ;

« hell a un physique très avantageux. non non, c’est vrai. elle est grande, mince, un profil élancé. elle a un regard très expressif, qui, parfois, fait peur. des yeux, magnifiques. elle a une bouche fine, délicate et un magnifique sourire qui malheureusement, n’apparaît que très peu souvent pour égayer son visage si froid. une belle fille qui ne se met peut-être pas assez en valeur ; qui sait. mais je pense, qu’avec le temps ça viendra. »
joyce, une amie.

« hell ? elle est belle. ne me contredisais pas. je dis ce que je pense. toujours. elle est grande, mince, belle, possède un physique élancé et son visage est tout ce que l’on trouve de plus beau sur la terre. aucun défaut, ou presque. que voulez-vous, la nature fait parfois bien les choses même si hell n’a pas été gâtée. heureusement que son physique l’aide car c’est tout ce qu’elle a pour elle. mais je maintiens qu’hell est belle. »

myrabelle, sa cousine.

Pourquoi cet avatar ?

parce que kristen stemart va très bien dans le rôle de mon personnage et aussi car je n’ai jamais joué kristen sur aucuns forums. j’avais envie de changement, de nouveau alors j’ai décidé de prendre kristen. d’autres questions ?

Post Prédéfinis ? oui [] non [xx]

Ma confrérie ;

Like a Virgin | So Scandalous | Le Fric c\'est Chic | Les coeurs Sensibles | Peace &&. Love | New-Yorkais &&. Fiers de l'etre | Populaire sans frontières | No life |

THIS IS IT
I would love to know your story !

Ton histoire ;;

tu veux vraiment découvrir ma vie? descends un peu plus.

Petit questionnaire ;;
⎛!⎞ Ceci est une interview de TON PERSONNAGE ! Il permet aux autres membres de mieux le connaître (:.

Couleur préférée ?
noir, rouge.

Ton plat préféré ?
étant donné que je n'ai jamais vraiment rien mangé d'extrêmement bon dans ma vie, j'aime tout.

Ton type de d'hommes ?
je ne me suis encore jamais posé la question.

Boire ou conduire ?
les deux.

Es tu accroc à quelque substance que ce soit ?
oui, toutes les drogues possible et inimaginable, la cigarette et l'alcool. aussi, pour les drogues et la prostitution, cela reste encore inconnu des gens.

Tes vices cachés ?
la prostitution, la drogue, la cigarette, l'alcool, mes fumettes.

Racontes moi ton meilleur souvenir d'enfance :D
aucun.

Les pays où tu as déjà voyagé ??
j'ai voyagé entre mon quartier mal famé d'origine, central park, la statue de la liberté et d'autres endroits pas très catholiques.

Tes hobbies ?
fumer, boire, coucher.

Jusqu'où es tu prêt(e)s à aller par amour ?
bonne question.

Le sexe avec toi, c'est ...
pour l'argent, pour le plaisir.

Dessert préféré ?
dessert? c'est quoi un dessert?

Un Scoop sur toi ?
il y en aurait trop.

De quoi as tu le plus honte ??
je n'ai honte de rien, j'assume tout. les gens on honte de moi. je n'ai pas honte de moi, de rien.

THIS IS IT
Who are you, in real life ?

Prénom &/ou Surnom &/ou Pseudo ; clémence.
Âge ; quinze ans; seize le onze mai.
Pays ; france.
Comment avez vous connu ce forum & qu\'en pensez vous ? par jamie. ler

Votre Niveau Rp ; 14/20.
Exemple de RP ;mon niveau n'a certainement rien d'exceptionnel. ceci est un rp équin lorsque j'étais plutôt inspirée.

Spoiler:

La pluie était fine. Mais malgré cette finesse très peu visible à l’œil nu, elle venait tout de même frapper les carreaux du studio de Maxxie Oliver, le directeur de Meadow Stables et de Mary Ann Thomas, directrice elle aussi, mais bien plus qu'une simple directrice pour Maxxie. C’était sa meilleure amie. La seule et l’unique. Celle qu’il espérait garder jusqu’à la fin de ces jours. La jeune femme auprès de laquelle il avait grandit, celle qui l’avait aidé à surmonter son chagrin et à reprendre en main Meadow Stables. Il était assis sur l’appui de fenêtre qui – cette dernière –montait jusqu’en haut du mur, et il regardait la pluie envahir le domaine. Il avait les genoux replié. Il était vêtu d’un bermuda, d’un tee shirt blanc et était pieds nus. Il aimait bien cette sensation du pied non vêtu avec le sol. Que ce soit avec du parquet, de la moquette, de la pelouse, des cailloux ou encore du macadam. Il était donc assis là dans le noir le plus total. En effet, il avait beau être onze heures du matin, dehors, le ciel était sombre et menaçant. Ce ciel prévoyait de faire éclater un orage, un violent orage. Un de ceux qu’on n’avait pas vu depuis longtemps. Le genre d’orage qui oblige les gens à rester chez eux. Et c’est bien ce que Maxxie avait prévu de faire. Pourquoi irait-il se pavaner dehors alors qu’un énorme et violent orage se préparait à s’abattre sur Meadow Stables ? Il ne voyait aucunes raisons évidentes qui le pousseraient à faire ce choix quelque peu désagréable. Il était mieux dans son ‘’chez lui’’ au chaud plutôt qu’à se les cailler à rien faire. Là, s’il voulait il pouvait regarder la télévision, chose qu’il s’était interdite vu l’orage qui se prononçait. Alors, il s’était dit qu’il valait mieux regarder Meadow Stables se plier aux lois de la nature. D’ailleurs, il n’aimait pas tellement l’orage. Non, n’allait pas croire qu’il en a peur. Ne me faite pas dire ce que je n’ai pas dit. J’ai dit qu’il n’aimait pas trop l’orage. C’est tout ce qu’il y a à comprendre. Non et puis il n’était pas le seul à ne pas aimer l’orage. Son cheval aussi n’aimait pas l’orage. Pire, il détestait l’orage. Il en avait une peur bleue. Dès qu’il entendait le tonnerre, il devenait carrément incontrôlable. Impossible à gérer. Maxxie soupira. Il était désormais obligé de passer le restant de la journée dans son studio, seul à regarder la pluie qui était devenu plus intense et plus violente. Il prit sa tête entre ses mains et … :

MAXXIE

Voilà les mots que venaient de crier Maxxie Oliver – il espérait qu’il n’avait pas crier trop fort car vu l’intensité du cri, on pouvait très bien l’avoir entendu jusqu’au bout du couloir ! En disant ceci, il fit un sursaut assez grand qui lui fit perdre l’équilibre. Il dut se rattraper pour ne pas tomber mais c’était trop tard . Alors, il se rattrapa sur le sol. Les deux mains à plat et les deux pieds aussi s’y trouvaient. Toujours avec son tee shirt blanc, son bermuda et ses pieds nus, il se releva très brusquement, ouvrit la porte violement et partit en courant en direction de la porte d’entrée qui se trouvait un peu plus loin. Il ne prit pas la peine de fermer la porte qui resta grande ouverte. Mais il aperçut Mary au loin qui était rentrée juste à temps, avant que l’orage ne montre son vrai visage. Il passa à côté d’elle, toujours en train de courir, et ne pris même pas la peine de la saluer ou de lui adresser un regard. Avec un peu de chance, elle refermerait la porte car il n’avait pas envie qu’un élève ne se pointe dans leur studio. D’ailleurs, en parlant d’élève il en croisa une, aussi. C’était certainement Jade. Comment le savait-il ? C’est un directeur. Celui de Meadow Stables. Et donc, il a tout les dossiers des élèves, avec, dans ces derniers, des photos d’eux. Alors, assez facile pour l’identification. Il ne la salua pas non plus. Il courrait toujours vite et paraissait complètement fou. Alors qu’il était juste inquiet et paniqué ; un peu. D’habitude, le chemin qu’il fait jusque la porte d’entrée du couloir menant aux différents studios lui parait long et interminable. Mais là, c’est différent. Il court. Si vite que ce trajet qui lui parait très long – trop – se termine sans même qu’il est eu le temps de dire ‘’ouf’’. Il s’arrête devant la porte. Maintenant ce n’est plus une petite pluie fine qui tombe sur le domaine mais une pluie forte, violente et intense. Une pluie qui vous mouille en moins de dix secondes. Et là, c’était partit pour durer. Il se retourna rapidement et vit les deux personnes qu’il venait de croiser le regarder. Peut-être se demandait-elle s’il allait sortir. Peut-être croyait-elle que non. Désolée mesdemoiselles, mais vous vous trompez. Même si il est en tee shirt, bermuda et pied nu, ça ne l’empêche pas d’ouvrir la porte et de s’engouffrer dehors, sous la pluie battante qui ne rendra pas la tâche facile. A peine sortit, la pluie battante fait face au corps de Maxxie. Il n’y prête pas attention et cours toujours, pieds nus. La pluie fouette son visage et maintenant, son tee shirt est trempé dans sa totalité. Le blanc, quand c’est mouillé, ça trahis. Et oui, on voit à travers. C’est exactement ce qui se passait. Plus le tee shirt du Directeur était en contact avec la pluie, plus on voyait à travers. Mais Maxxie n’en avait absolument rien à faire. Il courrait en direction des pâtures, quoi que ce fût assez difficile à cause de son bermuda, trempé lui aussi. Ses cheveux retombaient lourdement sur sa tête. Mais ce n’était pas ça qui le préoccupait. Le premier éclair venait de pointer son nez et après ce dernier, un hennissement strident ce fit entendre. Il s’arrêta net quelques temps avant que l’on entende ce grondement très sonore. Un deuxième hennissement ce fit entendre. Dans un murmure, il prononça :

MAXXIE

Il se remit à courir sans prêter attention au deuxième éclair qui laisserait par la suite un autre grondement extrêmement sonore. L’orage était prêt et il valait mieux pour les habitants des alentours qu’ils restent chez eux. Chose que Maxxie n’avait malheureusement pas faite. Il aperçut enfin les pâtures où un cheval gris galopait sans s’arrêter, les oreilles couchées et l’air apeuré. Il se cabrait, donnait des coups de coups. Il accéléra et le grondement se fit entendre. Maxxie ne s’arrêta pas pour autant même si il savait qu’il aurait mieux fait de rester chez lui. Mais ce cheval qui était dans le près, celui qui ne s’arrêter pas de galoper, celui qui était terrorisé, oui, ce cheval là, c’était le sien. Et pour rien au monde il ne l’aurait laissé terrorisé dans ce près. Même Mary n’aurait pas réussit à l’en dissuader. Cet étalon gris pommelé, Holstein, c’était la seule chose qui lui restait de sa grand-mère. Son cheval, c’était, désormais, toute sa vie. Il ne pouvait le laisser, sachant pertinemment qu’il risquait de se tuer, lui-même.
Dans un élan de folie, il s’élança au dessus de la clôture, ce qui occasionna une déchirure à son bermuda. Il atterrit les deux pieds au sol mais à cause de la boue que la pluie avait occasionnée, il manqua de se casser la figure. Il entendit des bruits de pas derrière lui mais il ne réagit pas et s’élance vers son cheval en s’arrêtant net après quelques mètres. Il était devenu carrément fou. Maintenant une seule question trônait dans sa tête. Arriverait-il à le sauver de là ? Arriverait-il à le sortir de là indemne ? Mais aussi, réussirait-il, lui, Maxxie à s’en sortir ? Une chose était sûre, il ne sortirait pas, sans son cheval !

Mot de passe réglement ;